

L’un des défis majeurs pour l’Afrique reste la question de nutrition : en terme de sécurité alimentaire et d’éducation nutritionnelle.
Ne m’appellez plus IAM mais plutôt UUO
Ahmed Moussa Diallo, président du conseil d’Administration (PCA) de l’Institut Africain de Management (IAM) a organisé une conférence de presse pour aborder le sujet marquant la rentrée académique 2020-2021. Cette conférence s’est tenue à IAM ZAD ce jeudi 8 octobre 2020.
Au cours de cette conférence plusieurs points ont été abordé dont la nouvelle dénomination de IAM qui passe du titre d’institut à celui d’Université.
« Les difficultés qui ont jalonné le parcours n’ont pas entamé notre détermination à poursuivre la noble mission que nous nous sommes assignés, c’est-à-dire offrir un bon cadre et des meilleures conditions d’apprentissage à nos étudiants. C’est avec une joie immense que je vous annonce que désormais l’Institut africain de management passe du statut d’institut à celui d’université, avec comme dénomination d’université de l’Unité Africaine », a informé le PCA de la désormais université.
Burkina24 https://www.burkina24.com/2020/10/08/enseignement-superieur-au-burkina-faso-iam-devient-universite-de-lunite-africaine/
Ce samedi 19 juin se tiendra une campagne de Don de sang à L’Amphi E lybien de l’université Joseph KI-ZERBO à partir de 8h. Sortez massivement pour qu’ensemble nous sauvions des vies.
Le constat est sans appel : la santé mentale des futurs médecins a du plomb dans l’aile. Ce mercredi, syndicats et associations étudiantes ont, en effet, dévoilé l’intégralité d’une étude édifiante sur les risques psychosociaux des étudiants en médecine. Après une précédente édition en 2017 – première du genre – plus de 11 700 étudiants ont été sondés, tous cycles confondus, dans ce travail présenté aujourd’hui à l’occasion d’un colloque dans l’enceinte de l’Assemblée nationale.
En quatre ans, l’état de santé des carabins s’est nettement dégradé. Ainsi, alors qu’ils étaient déjà 62 % à témoigner de symptômes anxieux en 2017, ils sont désormais 75 % à en faire état. Par ailleurs, 39 % des futurs médecins rapportent des symptômes dépressifs dans les sept jours précédant le questionnaire, soit 12 points de plus que lors de précédente étude.
« La crise sanitaire a mis en lumière l’enjeu de la santé mentale des jeunes et futurs médecins », déplorent les trois organisations à l’origine de l’enquête, l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF), l’Intersyndicale nationale des internes (ISNI) et l’Intersyndicale nationale autonome représentative des Internes de médecine générale (Isnar-MG). « Elle est devenue un intérêt de santé publique car ce sont les soignants de demain qui feront notre système de santé, insistent-ils. À chaque fois que l’un d’entre eux tombe, des centaines de patients en pâtissent tandis que leurs proches et leur famille vivent une souffrance immense. »
Charge de travail et humiliations
Pour la première fois, les organisations étudiantes – dont les travaux ont été approuvés par la conférence des doyens de médecine – ont mesuré l’ampleur de l’épuisement professionnel chez les jeunes. Et, là encore, le bilan est affligeant : 67 % des externes et des internes rapportent des signes de burn-out. Une proportion qui baisse à 39 % pour les étudiants de 1er cycle. « J’ai dû consulter ma médecin généraliste plus d’une dizaine de fois après un mois d’idées noires et de pleurs constants toute la journée et l’impossibilité de réviser, témoigne ainsi une étudiante de 2e cycle, interrogée dans l’enquête. J’ai été mise sous antidépresseurs pour une durée minimum de six mois jusqu’au concours. »
L’enquête, dont la méthodologie a également été validée par le Comité d’éthique et de recherche de l’Université Paris-Saclay, a également permis de mettre en lumière les facteurs de risques associés au mal-être étudiant et aux symptômes dépressifs. Difficultés financières, humiliations, harcèlements, agressions sexuelles, mais aussi temps de travail supérieur à 50 heures par semaine pour les internes et à 20 heures pour les externes, apparaissent ainsi comme des critères déterminant à la survenue de dépression.
« Les gardes de 24 heures, voire plus, sont épuisantes et nuisent clairement et objectivement à notre santé psychique mais aussi physique d’autant que les moyens techniques donnés pour assurer notre travail sont vraiment indignes », témoigne un interne répondant. À l’inverse, le fait d’être en couple a été rapporté par les étudiants comme protecteur vis-à-vis des risques psychosociaux.
futurs médecins. Aussi, 25 % d’entre eux rapportent du harcèlement, 23 % des humiliations et 4 % des agressions sexuelles. Plus grave encore, les violences sexuelles et sexistes se passent en immense majorité au sein même de l’hôpital dans les trois quarts des cas. Dans 14 % des situations, elles sont signalées lors de soirées étudiantes.
Par ailleurs, ces violences « sont presque toujours infligées par des personnes avec une position hiérarchique plus élevée que celle de l’étudiant ou de l’interne » détaillait au « Quotidien » Nicolas Lunel, président de l’ANEMF. Et en effet, selon l’étude, 60 % des agresseurs sont des médecins thésés, 13 % des internes. Une étudiante de 2e cycle témoigne : « À deux reprises dans deux stages différents j’ai eu des médecins hommes un peu trop tactiles de type massage sans autorisation, évidemment main sur la cuisse et des comportements de type clin d’œil, regards insistants… Ces comportements m’ont mise mal à l’aise quand je travaillais avec eux. »
Le constat est d’autant plus amer que des dispositifs de signalement ont été mis en place depuis 2019, à commencer par le Centre national d’appui à la qualité de vie des étudiants en santé (CNA). Mais, force est de constater que les victimes d’agressions sexistes et sexuelles ne s’y retrouvent pas. Selon l’étude, elles ne sont que 0,6 % à se tourner vers ces dispositifs de prévention et 18 % d’entre elles n’en parlent d’ailleurs à personne.
Le temps des promesses est révolu
Pour les organisations étudiantes, la crise ne peut être seule responsable d’une telle dégradation. Elles pointent ainsi du doigt « le grand nombre de réformes en cours et le manque de moyens mis en œuvre » et une « entrave » de la promotion de la qualité de vie des étudiants. Selon elles, le CNA « n’a pu être financé que très tardivement, quelques mois avant la clôture de la lettre de mission qui l’instituait ». Devant le ministre de la Santé, associations et syndicats exigent désormais des moyens financiers et humains.
Ils réclament par ailleurs davantage de cellules de soutien locales et un accompagnement personnalisé des stagiaires introduit au sein des services. Les représentants des étudiants souhaitent toujours taper fort et « infliger des sanctions aux établissements et aux services en cas de non-respect de la législation ». Une demande de longue date.
Les organisations entendent aussi mettre fin définitivement à « la dichotomie de l’étudiant fragile versus l’étudiant fort », en sanctionnant davantage les auteurs de maltraitance. « Ce ne sont pas les étudiants ou les internes qui sont fragiles : c’est le système qui les fragilise, rappellent-elles. Si des violences de toute sorte peuvent être infligées sans que le ou les responsables ne se sentent menacés, quels que soient les dispositifs en place, ces violences continueront .»
Source:https://www.lequotidiendumedecin.fr/internes/la-sante-des-etudiants/les-deux-tiers-des-etudiants-et-des-internes-de-medecine-sont-en-burn-out-lenquete-alarmante-des?utm_medium=Social_Echobox&utm_source=Facebook#Echobox=1635345893
Rendre votre présentation plus intéressante grâce à l’utilisation du multimédia peut aider à améliorer l’attention du public. PowerPoint vous permet d’utiliser des images, de l’audio et de la vidéo pour avoir un plus grand impact visuel. Ces repères visuels et audio peuvent également aider un présentateur à être plus improvisé et interactif avec le public.
PowerPoint est devenu l’outil incontournable pour la présentation de vos exposés, projets, stratégies. On ne présente pas un diaporama en entreprise comme on le présenterai entre amis d’où l’importance de maitriser cet outils.
Alors inscrivez vous et bénéficier d’une formation innovante à travers le numérique. Apprenez selon votre disponibilité que vous soyez étudiants ou professionnel.
Informations et inscriptions au +226 56 10 89 47.
Site: univpocket.com
Lien d’inscription :
Envie de découvrir cette nouvelle technologie qui bouleverse de nos jours là fabrication des objets, pièces de rechange, etc ? KeoLID Innovation Hub vous donne cette opportunité ! Voici une formation en Impression 3D: Comment imprimer un objet ou une pièce de rechange ?
Date: 08 février 2022
heure: 16h00-20h00
Lieu: KeoLID Ouaga, 50m de Burkina
Info
Plus Code Google : 8G73+HQ Ouagadougou
Coût: 20 000 F CFA
Pour toute réservation, un montant de 5 000 F CFA doit être envoyé au numéro Orange 67 46 12 28 pour garantir votre place pour la formation. Inscrivez-vous via le lien ci-dessous:
NB: Le nombre de places limité à 15
_Equipe KeoLID_
KeoLID Innovation Hub organise une MasterClass sous le thème: Innovation et Prototypage. Tout projet a besoin d’un prototype avec une touche d’innovation. l’occasion vous est offerte pour comprendre les notions derrière cette thématique !
Date: 12 mai 2022
Heure: 17h00 – 20h00
Lieu: KeoLID Ouaga (Plus Code: 8G73+JM Ouagadougou), KeoLID Bobo (Plus Code: 6M3P+7P Bobo-Dioulasso), KeoLID Koudougou (Plus Code: 6HQX+FW8 Koudougou)
Coût: 5 000 F CFA
Pour participer à la formation inscrivez-vous via le lien ci-dessous:
NB: Attestations disponibles pour le prix de 3 000 F et 1 000 F pour les membres KeoGO.
_Equipe KeoLID_
Graphic Design Shcool : une occasion pour mettre en valeur le créateur designer qui sommeille en vous !
Avec KeoLID Innovation Hub, apprenez et maîtrisez le logiciel incontournable d’imagerie et de design graphique au cœur de tous les projets de création, Photoshop .
Date : 09 avril au 08 mai 2022 (samedi et dimanche)
Heure : 16h00-18h00
Lieu : KeoLID Ouaga, 50m de Burkina Info
Plus Code Google : 8G73+JM Ouagadougou
Coût : 25 000 F CFA
Pour toute réservation, un montant de 5 000 F CFA doit être envoyé au numéro Orange 67 46 12 28 pour garantir votre place pour la formation. Inscrivez-vous via le lien ci-dessous :
http://bit.ly/3LdKbRf
NB :
– Nombre de places limité à 30
– Avoir un ordinateur portable core i5 avec ram 4 au moins
– Supports et logiciels offerts
– 10% de réduction pour les 10 premiers inscrits
_Equipe KeoLID_
KeoLID Innovation Hub en partenariat avec DJAHMA Tech for all organise une formation en cryptomonnaie avec pour *thème : Comprendre le fonctionnement des cryptomonnaies et éviter l’arnaque.*
Date: *10 février 2022*
Heure: *16h00-20h00*
Lieu: *KeoLID Ouaga, 50m de Burkina Info*
Plus Code Google : *8G73+HQ Ouagadougou*
Coût: *25 000 FCFA*
Pour toute réservation, un montant de 5 000 FCFA doit être envoyé au numéro Orange 67 46 12 28 ou Moov 51 19 43 12 pour garantir votre place pour la formation. Inscrivez-vous via le lien ci-dessous :
*NB: Le nombre de places est limité à 20 personnes.* La formation sera offerte à Bobo-Dioulasso et Koudougou à une date ultérieure.
_Equipe KeoLID_